Des conseils pour agir

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Facile

+

Court terme

€

Faible

**

Moyennement facile

+/-

Moyen terme

€€

Modéré

***

Difficile

-

Long terme

€€€

Élevé

Équiper les bureaux ensoleillés de protections solaires passives (filtres solaires, vitrages réfléchissants, films solaires, occultations extérieures…).

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+/-

€€

Supprimer les apports de chaleur dans les locaux (multiplication des équipements bureautiques ou des éclairages d’appoint de type lampes halogènes…).

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+

€

Végétaliser les murs et les abords immédiats des locaux, diminue l’intensité du rayonnement solaire (la différence de température entre un mur végétalisé et un mur nu peut atteindre 15 ℃). L’ombrage des arbres permet de réduire la pénétration du soleil.

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-

€€€

Sensibiliser le personnel à la fermeture des stores le matin, afin de limiter les besoins de rafraîchissement dans la journée.

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+

€

Améliorer l’isolation du bâtiment pour profiter de son inertie thermique.

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-

€€€

Envisager des installations sur le toit, telles qu’un système intégrant des cellules photovoltaïques pour produire de l'électricité ou une toiture végétalisée pour agir sur le confort d'été. De telles décisions sont prises sur la base d'une étude de faisabilité technico-économique montrant l'intérêt de tel ou tel système. Cette solution est éligible aux Certificats d'économies d'énergie (CEE) avec la fiche BAT-EN-109.

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-

€€€

Sensibiliser le personnel au fait qu’une utilisation réduite de la climatisation engendre des gains importants. De plus, dans les locaux, les équipements de rafraîchissement ne doivent fonctionner que si la température intérieure excède 26 ℃.

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+

€

Vérifier l’arrêt des équipements en période d’inoccupation.

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+

€

Lors du réaménagement des bureaux (par exemple, cloisonnement et changement des huisseries), vérifier la présence d’entrée d’air neuf dans chaque bureau. Le détalonnage des portes (jour laissé sous les portes) est un moyen d’assurer une circulation minimum. Il peut être couplé avec une ventilation mécanique.

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+

€

Si l’extraction d’air et l’apport d’air neuf sont centralisés, il est possible d’utiliser l’air extrait pour pré-refroidir l’air neuf quand il y a climatisation.

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+/-

€€

Adapter les débits d’air neuf aux besoins réels de ventilation.

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+/-

€€

Ventiler les bâtiments la nuit pour favoriser le rafraîchissement (free cooling), quand cela est possible, en fonction des contraintes techniques et de sécurité. La sur-ventilation nocturne permet d’économiser sur la climatisation.

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+

€

Optimiser les températures de consigne en fonction de l’intermittence et en tirant profit de l’inertie des bâtiments. L’installation d’un programmateur d’intermittence pour la climatisation permet de régler la température de consigne selon les heures de la journée. Cette solution est éligible aux CEE avec la fiche BAT-TH-122.

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+

€

Équilibrer le réseau aéraulique.

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+/-

€€

Équiper les bureaux de ventilateurs moins consommateurs d’énergie que les climatiseurs individuels.

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+

€

Si les climatiseurs individuels sont nécessaires, il est conseillé d’utiliser des appareils de classe A.

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+/-

€€

Choisir le système de ventilation optimal (simple flux, double flux, VNAC - Ventilation naturelle assistée contrôlée, modulation de débit).

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€€

Privilégier les systèmes de ventilation avec un échangeur récupérant l’énergie. Cette opération est éligible aux CEE par la fiche BAT-TH-126.

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+/-

€€

En dehors des zones maritimes, il est possible d’humidifier l’air en plaçant des points d’eau à proximité des ventilateurs, de façon à provoquer une évaporation naturelle (quand l'eau passe de l'état liquide à la vapeur, elle absorbe de la chaleur). Les plantes vertes dans les locaux contribuent aussi au rafraîchissement de l’air intérieur.

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+/-

€€