Émissions de polluants organiques persistants à partir du milieu urbain et des activités de traitement des déchets : impact sur la qualité de l'air au voisinage des sources Agrandir l'image

Émissions de polluants organiques persistants à partir du milieu urbain et des activités de traitement des déchets : impact sur la qualité de l'air au voisinage des sources

Appel à projets de recherche CORTEA

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L'étude caractérise des émissions diffuses de polluants organiques persistants (POP) et autres composés organiques semi-volatils (COSV), ainsi que leurs influences sur le niveau de contamination de l'air en habitat urbain ou rural en région parisienne. Les résultats révèlent que la contamination non halogénée dépasse amplement celle des POP étudiés avec en[…]  Plus de détails

Déclinaisons
  • Format électronique

Fiche technique

Auteurs CHEVREUIL M, MOREAU-GUIGON E, EPHE, UNIVERSITE PARIS VI-PIERRE ET MARIE CURIE
Public(s) Entreprises et fédérations professionnelles
Collectivités territoriales
Secteur de la recherche
Thématique Air et bruit
Collection Expertises
Éditeur(s) ADEME
Date d'édition 2015/12
Nb. de pages 29 P
Format pdf/A4
Langue FR
Périmètre de publication National

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L'étude caractérise des émissions diffuses de polluants organiques persistants (POP) et autres composés organiques semi-volatils (COSV), ainsi que leurs influences sur le niveau de contamination de l'air en habitat urbain ou rural en région parisienne. Les résultats révèlent que la contamination non halogénée dépasse amplement celle des POP étudiés avec en général un classement suivant : phtalates>HAP>PCB>HCB>PBDE>PeCB. A de rares exceptions, tous ces contaminants sont ubiquistes dans l'air ambiant et leur présence en phase gazeuse est majoritaire devant celle en phase particulaire. Les interprétations de l'état du milieu (IEM) réalisées à partir d'analyses directes sur l'air, ou indirectes à partir de bio-indicateurs (végétaux), des sols et des retombées atmosphériques indiquent que la contamination demeure le plus souvent du niveau de celle du centre de Paris. Les émissions diffuses de COSV non halogénés par volatilisation passive semble constituer une question environnementale dont les enjeux pourraient dépasser celle de certains anciens POP.